À ces femmes, je voudrais leur rappeler qu’une simple gifle n’est pas anodine, qu’à tout instant, leur vie ou celle de leurs proches peut se trouver en danger, qu'elles ne doivent pas avoir peur d’en parler, qu’elles ne doivent pas rester seules face à leur peur, même si ce sentiment paraît insurmontable, qu’il existe certainement un centre près de chez elles, de la famille ou des amis, qu’il leur faudra du courage pour combattre ce mal, qu’un jour ou l’autre, elles pourront s’en sortir.