Jean avait écrit, dans un cahier noir, les nouvelles de la guerre d'Algérie. Il ne savait pas pourquoi, ni à quoi cela pouvait servir. C'était un journal, peut-être, comme le miroir aigu, cassé, strident de cette mort qui circulait derrière tout, qui entourait Santos, qui menaçait chacun de ces garçons jusque dans la forteresse grise du lycée.