"Il n'y a pas de place pour le Moi et pas de fondement pour le construire. Si bien que, dès l'instant où toutes les souffrances accumulées, souffrances nées de la vie et de la mort, sont reconnues comme attributs du corps, et dans la mesure où ce corps n'est pas Moi, ni n'offre de fondement pour le Moi, alors arrive le grand absolu, la source d'une paix infinie.