Ce n'est pas de mourir, ni même de mourir de faim qui rend un homme malheureux, bien des hommes sont morts, tous les hommes mourront. Mais c'est de vivre misérable sans savoir pourquoi, de travailler rudement et pourtant de ne rien gagner, d'avoir le cœur brisé, d'être Las, et pourtant de se sentir isolé, sans lien avec personne pris dans le cercle d'un froid et universel laissez-faire.