Printemps et été 1948
Paul ami
Je vais finir par mourir de ne pas savoir dire tout ce qui me fait mal de joie le soleil et les toits sur les vitres de la cuisine,
les prismes de la Seine grasse
après les péniches
Paul je te remercie
Je me calme en pensant à toi
Tu me rends
l'espoir de voir clair
(p.105)