À Biblos, les jeunes filles avaient l'alternative de se prostituer pendant un jour entier aux étrangers, ou de sacrifier leurs cheveux à la déesse. Si l'on en juge d'après les vives déclamations faites par différents écrivains contre le culte de Vénus à Biblos et contre ses indécences, on se convaincra que les filles de cette ville préféraient conserver leur chevelure.