Hitler se donnait de grands airs, mais une fois son uniforme ôté, ce n’était pas un homme. Mussolini était le plus pompeux trou-du-cul que j’aie jamais rencontré. Imagine-le, s’arrêtant à chaque minute pour demander, en italien, bien sûr, comment il était. Un homme confiant dans sa sexualité ne fait jamais cela.