Jamais je ne me lève, vendredi saint ou pas, sans me rappeler la mort du Christ.
Jamais je ne vis le vendredi saint sans tenter d'éprouver, à l'heure même de la mort du Christ, l'effroyable douleur de son supplice.
Mais fait nouveau depuis dix ans je ne SOUFFRE plus de cette mort, elle est clarté, elle est ouverture, et dans cette ouverture j'entre.