Et tout cela en prenant soin de ne jamais évoquer le nom de mon principal concurrent, ni même de paraître au courant de son existence. Une des règles d'or, selon moi, de toute campagne électorale. Quand on me parle de M. D'Ornano, je réponds invariablement : "Qui est-ce ?" [...] Ne prononcez jamais le nom de votre adversaire. Il est inutile de lui faire de la pub ".