Le Kalahari est un milieu si pauvre que la cueillette et le ramassage y apparaissent comme de véritables prouesses. Pourtant, c'est là que les dernières bandes de chasseurs bochimans ont été acculées sous la pression des Noirs agriculteurs et éleveurs et des colons européens. L'essentiel de la nourriture récoltée par les femmes est fait d'insectes, sauterelles ou termites.