[juin 1794]
[...] l'enthousiasme des Parisiens pour les "guillotinades" est bien tombé. On ne se presse plus en famille pour voir les têtes rouler dans le panier de son. Désormais, il n'y a plus un habitant de la capitale dont un parent, un ami ou une connaissance ne soit passé sous le rasoir national. D'ailleurs, le peuple grogne, une colère sourde monte de tous les quartiers, le sang répandu écoeure tout Paris.
(p. 466)