Citation de gill
Très rapidement Leigh Brackett devint l'auteur numéro un du magazine. La plupart de ses récits avaient pour cadre une planète Mars très inspirée par la "Barsoom" d'Edgar Rice Burroughs. Il n'y manquait même pas John Carter mais il s'appelait Eric John Stark.
Ces textes, ou l'héroïc-Fantasy et la science-fiction se mêlent étroitement, ont parfaitement supporté l'épreuve du temps. Mrs Brackett vient de se voir confier la direction d'une série d'anthologies consacrées à "Planet Stories" et devant comporter obligatoirement un de ses récits.
Après elle, le second grand auteur de la série fut sans conteste Ray Bradbury, proscrit des revues "sérieuses" de science-fiction, car jugé trop poétique et trop peu scientifique....
(extrait de l'introduction générale insérée en début de l'édition parue chez "J'ai Lu" en 1975)
Ces textes, ou l'héroïc-Fantasy et la science-fiction se mêlent étroitement, ont parfaitement supporté l'épreuve du temps. Mrs Brackett vient de se voir confier la direction d'une série d'anthologies consacrées à "Planet Stories" et devant comporter obligatoirement un de ses récits.
Après elle, le second grand auteur de la série fut sans conteste Ray Bradbury, proscrit des revues "sérieuses" de science-fiction, car jugé trop poétique et trop peu scientifique....
(extrait de l'introduction générale insérée en début de l'édition parue chez "J'ai Lu" en 1975)