Le vrai convoi était parti un jour plus tôt, tiré par des mules, transportant les reliques enveloppées dans de vulgaires chiffons et cachées dans des ballots.
Joachim toisa Fierabras de l'autre côté de la vallée. Le Sarrazin allait peut-être lui ôter la vie aujourd'hui mais le pape noir ne mettrait jamais la main sur les reliques.
Jamais.