James Lee Burke

Le dernier chapitre, et même la dernière page du livre de la vie de chacun, ne proposait aucune unité, ni même aucun bon sens. Dans le meilleur des cas, la narration tirait le bon grain de l’ivraie, et permettait à un homme de franchir la ligne avec un fardeau allégé, et d’enfourcher un cheval frais pour un voyage dont on pouvait espérer qu’il n’aurait pas de fin.
C’était du moins ce qu’Hackberry aurait voulu croire. (éd. Rivages poche, p. 527)