En l'observant avec ma sensibilité d'adulte, je me rendis compte qu'il aimait la vie et les gens. Il percevait le côté amusant de tout et de rien, mais, surtout, il l'acceptait de bon gré, sans cruauté aucune. Fort d'un sens aigu de l'autodérision, il se classait joyeusement dans la catégorie des gens ridicules. En bref, il riait avec les autres, pas des autres.