Sur Catherine, l'héroïne :
[…] elle était affectueuse, gaie, spontanée, sans vanité ni affectation d'aucune sorte, elle venait tout juste de se défaire de la gaucherie et de la timidité propres à l'adolescence ; elle était agréable de sa personne, voire, dans ses bons jours, jolie, et intellectuellement elle était presque aussi ignorante et inculte que toute jeune fille l'est d'ordinaire à dix-sept ans.