Il y avait des siècles qu'elle (Isabelle) n'avait eu le temps de converser avec sa chère Catherine, et bien qu'elle eût mille choses à lui dire, il semblait que jamais elles ne parviendraient à se voir. Elle fit donc ses adieux à son amie et partit, avec des sourires où se lisaient le plus délicieux des chagrins et des yeux rieurs qui exprimaient l'abattement le plus profond.