À la fin de la campagne d’Afrique, ils avaient eu quelques jours de repos à Tunis, mais on leur avait fortement déconseillé de se frotter aux femmes – les prostituées avaient toutes la chaude-pisse, quant aux autres, elles avaient toutes un père et des frères, « et ça, c’est pire que la chaude-pisse ».