Quelqu’un me dit : − C’est comme ça…, avec un soupir d’impuissance. Comme si je devrais subir une fatalité. Non. Ta mort réveille la puissance engourdie en moi. J’ai le pouvoir − je peux si je le choisis− de la vivre autrement, d’être non pas une victime passive d’un destin, mais l’actrice active de possibilités inexplorées.