C’est cela qui me fait le plus peur, tu vois, que tu puisses devenir si vilaine, un jour, que j’arriverais à ne plus t’aimer. C’est de penser que tu seras toute seule au monde, quelque part avec ta pauvre petite figure fermée, tes pauvres petits seins offerts à tout le monde, tes pauvres petites histoires de femme entre tes jambes, ton pauvre petit égoïsme – sans mon amour.