Les livres nous révèlent ce paradoxe que l'existence est une chose si grande qu'elle ne se suffit jamais à elle même (...)Comment faire mesure de la vie incommensurable ? La littérature s'y essaie. Aussi faut-il imaginer l'homme paradoxal par excellence qui ne peut combler sa curiosité de la vie qu'en s'en détournant. (p.151-152)