(...) Athénaïs. Comme elle avait changé, elle aussi, en quelques semaines ! La pure et pieuse petite jeune femme qui suivait la reine en faisant parade de vertu et en blâmant sentencieusement la conduite de sa rivale s’était mue en une sensuelle créature, adulée, encensée, dévorée de coquetterie, ne songeant qu’à la gloire et à la fortune de sa famille. Elle était fière, altière, impérieuse, prête à tout pour retenir et capter la passion du roi. À tout, y compris au plus sordide…
Chapitre 24