De la pointe de mon crayon, j’entrepris de coucher sur le papier les souvenirs de cette année de CM2. D’un geste ferme et rapide je dessinai quelques silhouettes, mais mes coups de crayon n’étaient plus que des coups de griffes qui lacéraient les personnages, loin de l’ironie cinglante dont j’aimais émailler mes dessins.