Je ne m’étais jamais senti seul avant de le rencontrer. Mais, depuis son départ, je me sens différent, je me sens un autre. Ce qui est troublant, c’est que je ne sais pas s’il s’agit d’une autre présence ou d’une absence nouvelle.
Depuis ce jour, j’ai envie de dessiner autre chose que des lignes et des ronds.
Je décore mes topographies avec des bémols.
Finalement, la solitude, c’est la conscience de l’autre.
Et l’avenir, c’est le désir de l’autre.