Après LES MARIÉS, une spectatrice me reprocha qu’ils ne passassent pas assez la rampe. Comme le grief m’étonnait (masques et porte-voix passent mieux la rampe que visages et voix réels), la dame avoua aimer tellement le plafond de Maurice Denis qui décore le théâtre, qu’elle louait les places les plus hautes, ce qui l’empêchait de bien regarder la scène.
Je donne cet aveu comme exemple des réflexions faites par un petit monde sans tête ni cœur qui forme ce que les journaux appellent l’élite.