Nationalité : France
Né(e) à : Saint-Germain-en-Laye , le 26/10/1916
Né(e) à : Saint-Germain-en-Laye , le 26/10/1916
Biographie :
Jean Compagnon est un Général de corps d'armée français. Il est le fils du colonel Marcel Compagnon et de Lucie Dehesdin. Veuf d’une ancienne prisonnière politique belge, née Jacqueline Terlinden qui lui a donné six enfants dont Antoine Compagnon, il est remarié avec Sylvie Palewska, la veuve de Dominique Chennevière, un officier mort pour la France en Algérie.
Il naît au milieu de la Première Guerre mondiale et vit sa jeunesse dans " l'après-guerre ". Il fait ses études secondaires au lycée de Vesoul et entré dans l'armée en 1934, il y passe ses premières années dans " l'avant-guerre ".
De 1939 à 1962, époque où l'Armée française est, sans interruption, en guerre, il participe, dans la troupe, à ses divers engagements : France 1939-1940, Tunisie 1942-43, Libération, Allemagne, Indochine, Algérie.
Pendant la guerre froide, il occupe des postes internationaux, à Londres et à Washington. Il termine sa carrière militaire dans des commandements en France: 2e Brigade Blindée, 11e Division Parachutiste et Région Ouest de la France.
Rendu à la vie civile en 1976, il remplit des fonctions très diverses : formation continue en entreprise, journalisme et médias, publications d'articles et de livres dont l'un reçoit le prix " Maréchal Foch " de l'Académie Française, conférences dans les lycées et collèges, enfin, bénévolats divers dont la présidence de trois associations aux effectifs importants.
En mai 1994, il publie une biographie Général Leclerc, maréchal de France; en 2006, il publie son livre testament Ce en quoi je crois.
Il est Grand-Croix de la Légion d'Honneur.
+ Voir plusJean Compagnon est un Général de corps d'armée français. Il est le fils du colonel Marcel Compagnon et de Lucie Dehesdin. Veuf d’une ancienne prisonnière politique belge, née Jacqueline Terlinden qui lui a donné six enfants dont Antoine Compagnon, il est remarié avec Sylvie Palewska, la veuve de Dominique Chennevière, un officier mort pour la France en Algérie.
Il naît au milieu de la Première Guerre mondiale et vit sa jeunesse dans " l'après-guerre ". Il fait ses études secondaires au lycée de Vesoul et entré dans l'armée en 1934, il y passe ses premières années dans " l'avant-guerre ".
De 1939 à 1962, époque où l'Armée française est, sans interruption, en guerre, il participe, dans la troupe, à ses divers engagements : France 1939-1940, Tunisie 1942-43, Libération, Allemagne, Indochine, Algérie.
Pendant la guerre froide, il occupe des postes internationaux, à Londres et à Washington. Il termine sa carrière militaire dans des commandements en France: 2e Brigade Blindée, 11e Division Parachutiste et Région Ouest de la France.
Rendu à la vie civile en 1976, il remplit des fonctions très diverses : formation continue en entreprise, journalisme et médias, publications d'articles et de livres dont l'un reçoit le prix " Maréchal Foch " de l'Académie Française, conférences dans les lycées et collèges, enfin, bénévolats divers dont la présidence de trois associations aux effectifs importants.
En mai 1994, il publie une biographie Général Leclerc, maréchal de France; en 2006, il publie son livre testament Ce en quoi je crois.
Il est Grand-Croix de la Légion d'Honneur.
Source : Wikipédia,amazon.fr
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Citations et extraits (2)
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Au sommet de la hiérarchie militaire est Hitler. Il a souvent, depuis 1933, forcé la main de ses généraux par des initiatives d’une audace que les chefs militaires jugeaient excessive, et à laquelle la fortune a souri. La remilitarisation de la rive gauche du Rhin a inauguré une suite de succès : […]
Convaincu de son génie militaire intuitif, stratégique comme tactique […] il ne laisse aucune initiative aux généraux, et ne leur accorde, sauf de rares exceptions, qu’une faible confiance.
Convaincu de son génie militaire intuitif, stratégique comme tactique […] il ne laisse aucune initiative aux généraux, et ne leur accorde, sauf de rares exceptions, qu’une faible confiance.
Hitler renonça à user des gaz, dont il disposait en larges stock, parce qu'il en avait lui-même souffert durant la première guerre mondiale, ont dit certains. Il en fût probablement dissuadé par la déclaration de Roosevelt d'user en représailles des mêmes moyens sur les villes et concentrations industrielles allemandes, dont la vulnérabilité était considérablement supérieure.
A Margival, le 17 juin, Hitler, Von Rundstedt et Rommel envisagèrent d'employer contre la zone alliée les V-1, dont les tirs avaient commencé 5 jours auparavant. Ils y renoncèrent en raison de l'imprécision de ces armes.
A Margival, le 17 juin, Hitler, Von Rundstedt et Rommel envisagèrent d'employer contre la zone alliée les V-1, dont les tirs avaient commencé 5 jours auparavant. Ils y renoncèrent en raison de l'imprécision de ces armes.
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