Je conçois qu’on craigne l’esprit d’un homme dont la toute dernière pensée fut de nous maudir. Mais cela n’est pas arrivé dans le cas présent, car j’ai diverti ses pensées en le forçant à nous donner un gage de sa haine. Tout ce qu’il désirait en expirant, c’était mordre cette pierre. Ainsi, toutes ses autres pensées s’en trouvèrent éludées.