Ainsi, chez mon cher Johann Sebastian Bach, il arrive souvent que la basse n’est pas notée mais chiffrée. Donc, la mélodie doit être accompagnée par les notes correspondant à ces chiffres : l’interprète doit connaître les lois de l’harmonie pour ne pas trahir la pensée et le style de Bach. De plus, l’histoire du XVIIe siècle nous apprend qu’en général, le compositeur souhaitait que le lecteur de ces chiffres improvise (ou ne planifie que très peu) leur réalisation.
Toscanini, ce grand maître qu’on appelait souvent « le petit maître », car il était petit de taille, avait une vue excessivement faible, à tel point qu’il ne pouvait lire une partition que collée à ses yeux, à quelques centimètres. Ce qu’il ne pouvait faire devant les musiciens qu’il dirigeait. Ainsi dirigeait-il en sachant par cœur toutes les partitions. Il avait, grâce à Dieu, une mémoire fabuleuse.
La langue française est un peu le résumé de ce que furent le latin et le grec, avec des apports de l’arabe, voire d’autres langues. Elle est aussi à l’origine de la langue anglaise, ce qui permet à certains de conclure que l’anglais est du français mal parlé..
Quand on veut interpréter Bach, on ne doit pas se contenter de jouer la partie chiffrée de la ligne mélodique qu’il a indiquée, on a l’obligation de délabyrinther et d’improviser en fonction des tonalités et des intervalles conseillés par les chiffres.
«Si Dieu existe, Il est le son. » Il y a parfois quelque chose de dionysiaque qui s’élève en moi; il m’arrive en écoutant de la musique, de piétiner, je ne peux plus rester en place, je suis transporté à un point tel que je me mets à crier.
Un gastronome ne grossit jamais, car s’il aime manger, étant gourmand, en général, il mange peu.
L'important est de se prendre au sérieux, sans se prendre pour un autre.