Avec le jeu des remises de peine - terme odieux pour une victime qui ne pouvait jamais bénéficier de ce genre de dispositif -, les douze années initiales s’étaient réduites pratiquement de moitié. Quelqu’un s’était-il posé la question de savoir si la souffrance de ces victimes s’était également réduite de moitié ?