Il y a le visage de la mort. Mais avant il y a le dernier visage. Le visage de la mort est pelucheux et doux comme un oiseau ; il est étendu, ailes ouvertes, sur le vide sans remous. L’autre, c’est le visage qui précède. Il ne s’éteint plus ; il accompagne l’homme dans ces dernières foulées sur le portement de la terre, avant qu’il s’élance. Ce visage est comme un champ de d’herbe déchiré mais illuminé par un grand charruage.