"Oran est un lieu de transmutation d'un exil encore teinté d'empathie, avec à la terre natale, romantique, c'est-à dire métaphysique, celui de Noces, de l'Eté, en un exil sans recours, gris, morne, d'une tout autre vérité. Qui a son poids de réel. (...) La Peste peut et doit"se lire sur plusieurs portées" dont aucune ne l'épuise. Le chemin s'inverse, il ne s'agit plus d'aller de l'idée vers l'image, mais de l'image vers l'idée".