On ne rejette pas vraiment les rigolos, mais on s'en éloigne un peu, comme si l'on craignait qu'ils ne gâchent la soudaine gravité de l'obscurité propice. Taburin eut la tentation, qu'éprouvent parfois les fantaisistes, de montrer qu'ils ont une âme, que cette âme abrite un coeur, et que ce coeur contient des secrets qu'il aimerait, à certains moments, partager.