XII – Extrait 1
À l’aube
s’est
levé
Les sables sont déserts
Sur les villas rouillées
l’automne
un
cri
si
pur
et
si
lointain
L’oiseau
ramait
dans
les
courants
du ciel
Dans le lit froid
fantôme du parfum
(ambre solaire)
que
j’ai
songé
à
ta
langue
légère
à
l’imminence
de
ta
voix