Vais te dire : le pire défaut de ce genre d’auteur, c’est son absence inimaginable d’imagination. Comment romancer sans imagination ? ! Lui, il pourrait écrire cent ans que les idées ne viendraient pas. Des dizaines de muses miauleraient au bout de son lit que son esprit demeurerait impuissant. C’est terrible, l’imagination. On ne saurait la mettre dans une tête comme les plumes dans l’oreiller.