AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.24/5 (sur 17 notes)

Nationalité : Belgique
Né(e) à : Bruxelles , le 17/11/1965
Biographie :

Jean-Louis Aerts est professeur de français, de latin et de théâtre dans une école bruxelloise depuis plus de vingt-cinq ans.

Il a multiplié les expériences littéraires et artistiques : one man show, saynètes théâtrales, improvisations théâtrales, nouvelles, contes…

"Un siècle de mensonges", son premier roman, est finaliste du Prix des lecteurs Club 2016.

page Facebook : https://www.facebook.com/jlaertsecrivain/

Ajouter des informations
Bibliographie de Jean-Louis Aerts   (2)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
On a parlé de cent nonante-trois victimes et de trois cent cinquante rescapés, mais ceux qui ont vécu ce drame savent très bien qu’il y a bien eu cinq cent quarante-trois victimes, certaines plus mortes que d’autres ! Je ne suis pas un rescapé, je suis un survivant !
Commenter  J’apprécie          30
On pleure toujours les morts, alors que ce sont les vivants qui sont à plaindre. C'est eux qui souffrent de voir disparaître ceux qu'ils ont aimés, c'est eux qui prennent conscience de leur propre finitude à travers la disparition des autres.
Commenter  J’apprécie          30
A quoi bon remuer le passé s'il n'améliore pas le présent ?
Commenter  J’apprécie          30
Dans l'existence, il y a des jours par dizaines, qui s'enfilent comme des perles sur le collier de la monotonie.
Commenter  J’apprécie          20
Le devoir de mémoire ! Le devoir de mémoire, madame Voinet ! Le même argument qui pousse des milliers de victimes de la Shoah à sillonner le monde. L'individu doit passer à autre chose, mais la collectivité a le devoir de se souvenir, toujours ! La société est la gardienne de la mémoire du monde.
Commenter  J’apprécie          10
La mort donne de la valeur à la vie. Quand on échappe à la mort par miracle, c'est un signe envoyé par Dieu pour mieux vivre encore le temps qu'il nous reste à vivre sur cette terre. C'est un signal donné pour ne pas gaspiller nos années de vie.
Commenter  J’apprécie          10
Écrire est un acte égoïste de survie, un exutoire utilisé par l'écrivain pour ne pas sombrer dans la bêtise humaine, une bouée qui l'empêche de se noyer dans l'océan de haine que l'homme déverse jour après jour sur cette terre qu'il méprise.
Commenter  J’apprécie          10
La vie est ainsi faite: pour qu'il y ait une oasis, il faut d'abord un désert.
Commenter  J’apprécie          20
Dans la vie, il faut savoir ce que tu veux. Si tu sais ce que tu veux, tu deviendras un loup, sinon, tu resteras un petit agneau tout doux, qui se fera bouffer tout cru, comme dans la fable de La Fontaine.
Commenter  J’apprécie          10
Quand la boîte de Pandore... il ne faut surtout pas la réveiller.
Commenter  J’apprécie          20

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean-Louis Aerts (26)Voir plus

Quiz Voir plus

Pastiches littéraires

"L'hiver, la Glavoise est un torrent boueux dont les flots tumultueux charrient des arbres morts, des rochers noirs et des sangliers surgelés. Pourtant, sitôt passées les dernières neiges de mai, elle se métamorphose en une rivière paisible qu'on traverse à pied sec au lieudit du Gué-de-la-Corde. C'est là que le voyageur qui arrive à Courtonac par la route de Saint-Hilaire franchit la Glavoise, au Roc-de-la-Châtre. Un peu en aval, la route en pierre traverse le moulin abandonné du père Plasson. Devant le triste spectacle des ronces qui dévorent les meulines à foulon et les flaterets à courroie, on a bien du mal à croire que, jadis, les ânes, les boeufs et les femmes de Courtonac déchargeaient là leurs ballots de bressac frais pour qu'on les y moulût. Solide comme un linteau, son éternelle bamborgne à la bouche, le père Plasson transformait ici les précieuses gousses en une fécule à cataplasme, délicate comme de la peau d'oreille et fraîche comme un cul de pouliche." "Les engoulevents de la Grange-aux-Loups" est un pastiche des romans signés:

Fred Vargas
Christian Signol
Valérie Perrin

8 questions
31 lecteurs ont répondu
Thèmes : humour , pastiche , jeux littéraires , littérature , clichés , best sellerCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..