« Il n’y a pas de hasard, que des rendez vous. »
Paul Eluard.
"A cet instant, Jules a appris à se connaître, il sait d'où il vient. Il a renversé le cours de son existence et s'est allégé définitivement de son encombrant fardeau familial. Une brèche s'est produite en lui, comme si une partie de ses rêves se réalisait et prenait enfin forme. Un monde nouveau apparaît, ce qui lui permet de tout envisager. Mener un projet de A à Z avec une grande confiance créatrice en lui, quelque chose de foncièrement concret, loin de son manque d'assurance d'hier et de son absence de vision du lendemain."
"Le progrès n'est que l'accomplissement des utopies."
Oscar Wilde.
Il n'y a pas de vide plus grand lorsque quelqu'un entre dans votre vie, la chamboule et puis s'en va.
Charles Bukowski
De la même façon, Edmund Wilson lui donna matière à réflexion et c’est par son entremise qu’il découvrit les écrits de Charles Fourier, un indigné avant l’heure, essayiste critique, de surcroît français donc tout de suite étiqueté comme rebelle qui proposa une nouvelle vision de la société en voulant installer des phalanstères, sorte de communauté aux idées nouvelles, constitués de quelques centaines de personnes installées à la campagne.
Ce fut, pour le vieux lord, une véritable révélation. Il avait devant lui les écrits du « Messie de la raison » celui qui se présentait comme « le Newton d’une nouvelle science », un génie qu’il fallait découvrir, dans ses moindres recoins. Ce qui fut fait avec l’aide de William tout acquis à la cause de son grand-père, acceptant chaque idée novatrice, comme une porte qui s’entrouvre, sur un nouveau monde.
Un lycée idéal: un polar très sympa dans un milieu inattendu, ce qui renforce le suspens.