Le règne de la qualité, le millénium tant attendu, arrive à grand pas dans le fracas des civilisations qui s’effondrent, et l’homme prométhéen apparaît justement comme le principe vivant d’un nouvel humanisme qui, loin de rejeter la conception spirituelle du monde, n’hésite pas à mettre en œuvre les véritables moyens de libération susceptible de redonner aux hommes la possession de tous les pouvoirs perdus.