Le gouvernement chinois se méfie énormément des étudiants, depuis 1989, vous savez. Il les traque, les épie, chez eux, bien sûr, mais aussi partout dans le monde. Il les surveille comme la bonne ménagère surveille son lait quand il est sur le feu, discrètement, naturellement, mais avec une effroyable efficacité tout de même, par le biais de ses ambassades et de leurs services spéciaux, plus ou moins secrets, et le moins que l’on puisse dire, c’est que Yi-Ping ne passe pas inaperçue, de loin s'en faut, même. Cette fille est tellement honnête et entière qu'elle pense que tout le monde est comme elle, à tort bien sûr, que personne ne fait de coups bas, de manoeuvres tordues, alors elle ne se méfie pas assez, c'est certain.
Cette jeune femme qu’il appréciait tant, celle qu'il avait appris à aimer jour après jour, qui était devenue sa tendre complice, sa maîtresse adorée, son amoureuse, depuis maintenant quelques mois, venait de disparaître d'une façon pour le moins inexplicable. Il allait se lancer dans l'heure à sa recherche et il allait rapidement la retrouver, il en était intimement persuadé ! Son instinct affûté d'homme amoureux allait le guider vers elle d'une façon infaillible. Il la connaissait bien, il croyait tout savoir de ses qualités et de ses défauts, de ses motivations comme de ses aspirations.
On n'avait même plus besoin d'ennemi pour être tué, dans son pays, il suffisait juste d'être en colère et de le faire savoir.
Vous, les jeunes, vous n’êtes pas comme nous, oh cela je le vois bien ! Moi, il faut admettre que je courbe l’échine depuis si longtemps que je me sentirais mal à l’aise si je décidais tout d'un coup de marcher avec le dos parfaitement droit. J'ai été élevé comme ça, et à force de plier, j'ai perdu l'habitude de me révolter. Alors, je vais continuer comme je l'ai fait jusqu'à présent. Mais si toi et tes amis pouvez faire quelque chose pour changer ce foutu pays qui commence à marcher sur la tête, allez y, mais surtout soyez d'une extrême prudence.
La révolution, c'est un soulèvement, un acte de violence
par lequel une classe en renverse une autre .
L'amour n'est certainement pas un sentiment étale, il peut subir bien des variations.
La letteratura è come la pasticceria.
Affinché sia veramente appetitoso e delizioso a degustare, tutto conto.
Il gusto, certamente, ma anche la struttura e l'aspetto!
Jean-Paul Dominici
http://www.nouvelles-et-romans.fr
La letteratura è come la pasticceria.
Affinché sia veramente appetitoso e delizioso a degustare, tutto conto.
Il gusto, certamente, ma anche la struttura e l'aspetto!
Jean-Paul Dominici
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La littérature c'est comme la pâtisserie,pour que cela soit vraiment appétissant et agréable à déguster, tout compte!
Le goût, bien sûr, mais aussi la texture et l'aspect
La littérature c'est comme la pâtisserie,pour que cela soit vraiment appétissant et agréable à déguster, tout compte!
Le goût, bien sûr, mais aussi la texture et l'aspect