un soir je la trouvai en pleurs(..).J'essayai de la calmer en caressant ses cheveux et son front moite de transpiration. Elle tenait ses poings serrés devant sa bouche, sa respiration était aussi saccadée que celle d'un chien flairant une trace, et ses cils , collés par les larmes , avaient l'apparence d'un gros fil chirurgical avec lequel on aurait cousu ses paupières gonflées.Je restai auprès d'elle , impuissant, mes mains effleurant son chagrin.