C'était un matin extraordinaire. Une aube d'été, rose à l'horizon, comme Angel Monestier aimait à la contempler, d'un pas nonchalant, en faisant la tournée des dépendances. L'odeur de foin embaumait sa grange. L'homme tira sur la porte et se glissa en douce dans l'antre rien que pour le plaisir, une fois encore, d'en respirer les essences divines.
(incipit).