Quand on vit seul, on ne sait même plus ce que c’est que raconter : le vraisemblable disparaît en même tant que les amis. Les évènements aussi, on les laisse couler ; on voit surgir brusquement des gens qui parlent et qui s’en vont, on plonge dans des histoires sans queue, ni tête : on ferait un exécrable témoin.