On ne décide pas de rendre visite à Julien Gracq, ce n'est possible que si d'évidence on se sent préparé. Ce n'est pas la peur d'affronter "un monument" qui vous fait hésiter, voire fléchir, ce n'est pas non plus l'incertitude, l'angoisse de ne pas être à la hauteur qui retarde cet engagement. Ce n'est que l'irrépressible besoin de faires'incarner " celui qui est à l'origine" d'une émotion profonde.
(- Premières phrases du "Prélude" -)