Catholicisme attestataire.
Alors je reviens à la peur, à la tiédeur, à la pâleur. Ces ombres maléfiques je veux les chasser une fois pour toute.
Prisonnier de la pudeur, il y a des choses que l'on ne dit pas, car elles sont trop intimes, trop secrètes et trop grandes à la fois. Trop grandes pour soi, mais aussi pour sortir de soi. Trop fragiles pour être dites sans être brisées, comme une première déclaration d'amour. Maintenant, puisque mon père a trouvé le chemin, il est temps de les dire.