facteurs d'hier et d'aujourd'hui
Les vraies relations de Thomas, 2006
A Paris, on parle davantage aux boites aux lettres qu'aux êtres humains, en dehors des commerçants et des quelques concierges qui restent. Mais si l'on fait preuve de curiosité, on apprend beaucoup des choses dans ce métier. (...)
Cela me fait plaisir de sentir que j'étais vraiment intégré à la vie de quartier. C'est vrai que le métier de facteur permet de rencontrer des personnages qui sortent de l'ordinaire (...)
Les gens aiment leur facteur, à condition qu'il ne passe pas comme une fusée. (p. 118)