L'eurocentrisme à la française, de fait, a bouché l'horizon et a fait dénier toute singularité au colonisé, nier la violence de sa mise en tutelle sous prétexte d'universalisme bien entendu, c'est-à-dire profitable d'abord aux puissances européennes. Le francocentrisme à géométrie hexagonale, constant lui aussi, a réduit les enjeux coloniaux à ceux de la seule métropole. L'égoïsme national a primé.