Que votre nom
Même si vous devez rejeter mon appel
Que votre nom ne me condamne pas
Je porte en moi un cheptel
Terrible
Le pire n’est pas tant ma force
Que mon faible dit mon ami
Dans l’inconsistance du fruit
La cave se prépare
Où croulera le cri
Du moins qu’une seconde austère
Notre visage soit admis
À porter le feu de la terre
Son décalque jusqu’à l’oubli
Votre nom ici se retrouve
Avec l’amande ô liberté
Si passionnément préservée
Dans les sédiments de la louve !