« les libretti qu’il a écrits pour Mozart font partie de l’œuvre de Mozart et doivent être écoutés dans le chant qu’ils sont devenus. […] ils sont eux-mêmes le produit d’une interprétation : non seulement parce que Da Ponte a interprété de nombreux textes antécédents, mais surtout parce qu’il a su interpréter l’attente et le désir du compositeur ».