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Citations de Jean Tabary (67)


(Iznogoud): Tu veux dire que tu viens du temps futur?
(Le dessinateur): Ah non! Ah non! Moi, je viens du présent, vous, vous êtes le passé. Votre raisonnement est imparfait.
(Iznogoud): Eh bien, je vais être impératif: prouve-le!
(Le dessinateur): Votre auxiliaire est plus poli que vous!
(Dilat Larath): Écoutez, si vous voulez vous comprendre, conjuguez vos efforts!
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Les féroces guerriers avançaient en rasant tout sur leur passage.
- Non seulement vous avez tout rasé, mais il faut encore que vous preniez mon or ?
- Oui. Ce n'est que demain qu'on rase gratis.
("La Horde")
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IZNOGOUD : Un éléphant ! Le règne du calife pour un éléphant !
(P. S. : Joli petit clin d'œil de Goscinny à Shakespeare dont je ne suis pas certaine que la majorité des enfants puisse le déceler facilement. Il faut évidemment mesurer le décalage avec le célèbre vers iambique de Richard III : « A horse ! a horse ! my kingdom for a horse ! »)
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DILAT LARAHT : Il y a bien un marchand d'articles de magie qui vient de s'installer à Bagdad, mais...
IZNOGOUD : Qui est-ce ? Qui est-ce ?
DILAT LARAHT : C'est un Perse, je crois... un Mède... Je ne me souviens pas de son nom, mais je connais son adresse.
IZNOGOUD : Allons-y ! Conduis-moi !
(Ils arrivent à une porte avec un écriteau : INDJAPAHN.)
DILAT LARAHT : C'est bien ça, patron. Le Mède Indjapahn...

LE GÉNIE.
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(Boulvarosman): Regardez-moi dans les yeux!
(Iznogoud): Ah non! Pas moi! Lui!
(Dilat Larath): Moi? Non! Vous!
(Iznogoud): Pas moi! Toi!
(Dilat Larath): Pourquoi moi et pas vous?
(Boulvarosman): Avec un dialogue comme ça, nous sommes mal partis pour les prix littéraires.
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IZNOGOUD : J'aime autant être empalé que de ne pas m'asseoir sur le trône !
DILAT LARAHT : Ne prenez pas les choses du mauvais côté. Peut-être qu'un événement fortuit viendra bientôt aider vos nobles desseins.
(ET, PAS PLUS TARD QUE LE LENDEMAIN…)
DILAT LARAHT : Patron ! Ça y est ! Un événement vient de fortuiter !
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Laissons là le Mandarin Litchi occupant ses paisibles loisirs à observer le vol des canards laqués au-dessus des champs de riz cantonais…
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IZNOGOUD : Regarde cette carte. Tu reconnais ? (Il déroule une grande feuille toute blanche.)
DILAT LARAHT : Non.
IZNOGOUD : C'est une carte détaillée du désert au 50 000 ème, ignorant !
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Le calife ne fait rien, et il le fait bien. Il sort rarement de son palais, où il se distrait paisiblement en jouant aux échecs. Il ne perd jamais, car, son adversaire, en bon courtisan, lui signale les coups.
LE COURTISAN : Attention, Commandeur des croyants ! Si vous bougez votre esclave, je prends votre caravansérail avec mon janissaire et je fais échec au sultan !
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Voici pékin la lointaine à l'époque de la dynastie Yuan. Sous les toits de porcelaine de Limoges vit un peuple silencieux, un peu snob, au sourire imperturbable…
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LE CHASSEUR DE TIGRE : Voici un article importé qui vous fera de l'usage et vous donnera de la satisfaction. Pur tigre. Douze mille maravédis.
(Une heure plus tard…)
LE CHASSEUR DE TIGRE : À bientôt. C'est un plaisir de faire des affaires avec vous !
LE CALIFE : Il a fallu marchander un peu, mais ça valait la peine… Quatre maravédis, ce n'est pas cher !
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IZNOGOUD : Comment es-tu arrivé ici, occidental ?
L'HOMME DE SCIENCE : C'est accidentel.
IZNOGOUD : Mais pourquoi es-tu venu en Orient ?
L'HOMME DE SCIENCE : J'étais désorienté.
IZNOGOUD : Homme de science occidental : je suis assez amateur de mots. Il m'arrive même d'en rire. Ha ha. Cependant, si tu ne t'expliques pas plus clairement... JE TE FAIS EMPALER !!!
L'HOMME DE SCIENCE : Je pourrais faire pas mal de calembours avec ça, mais quelque chose me dit que ce n'est pal moment.
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DILAT LARAHT : Ah non, patron ! Ah non ! Ah non !
IZNOGOUD : Dilat, tu es un ami. Je ne donne pas d'ordres à un ami. Nous allons tirer au sort. D'accord ?
DILAT LARAHT : Comme ça, d'accord.
IZNOGOUD : Pile ou face ?
DILAT LARAHT : Pile.
IZNOGOUD : Face. Tu as perdu, entre dans la machine.
DILAT LARAHT : Mais patron, vous n'avez pas jeté de pièce !
IZNOGOUD : Tu es un ami. Pas de question d'argent entre amis.
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IZNOGOUD : Qui es-tu, au juste ?
LA SIRÈNE : Dalaerte. Je suis la sirène Dalaerte... Je suis la fille de Tabah, le bar, et d'Ohmane, la nymphe... Ils ont frayé ensemble...
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IZNOGOUD : Ah, te voilà ! Viens avec moi à la porte du palais, j'ai des instructions à te donner tout de suite, mon homme de main !
DILAT LARAHT : Tout de suite, ou demain ?
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IZNOGOUD : Tu sais comment faire revenir le revenant ?
DILAT LARAHT : Bien sûr. Il faut tracer un cercle magique.
IZNOGOUD : Un cercle magique ? Tracé avec de la craie ?
DILAT LARAHT : Non. Avec des petits oignons. Oui, il faut le faire revenir aux petits oignons.
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BOULVAROSMAN : Regardez-moi dans les yeux !
IZNOGOUD : Ah non ! Pas moi ! Lui !
DILAT LARAHT : Moi ? Non ! Vous !
IZNOGOUD : Pas moi ! Toi !
DILAT LARAHT : Pourquoi moi et pas vous ?
BOULVAROSMAN : Avec un dialogue comme ça, nous sommes mal partis pour les prix littéraires.
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Enseigne du magasin : TOUT À 10 % DE MOINS QU'AILLEURS
LE MARCHAND : 19,80 ! V'là le grand vizir !
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IZNOGOUD : Qu'on m'apporte un fouet pour punir ce chat !!
L'HUISSIER : Le calife a interdit l'usage des fouets, il les a fait tous jeter !
IZNOGOUD : Il n'y a pas de quoi fouetter un chat ? Inadmissible !
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Le chef suprême du gouvernement était le calife Haroun El Poussah, commandeur des croyants. C'était un excellent calife... Il était si bon, si généreux, il puisait si souvent dans ses coffres pour aider les déshérités, qu'on l'appelait le bon du trésor. Mais hélas, il était bête. Bête comme ses pieds, qu'il avait très bêtes, comme pouvait en témoigner l'esclave chausse-pied, un connaisseur... Bête à manger du foin dont il faisait grande consommation... Et lors des festivités officielles, quand le calife se montrait à son peuple, bien droit sur une estrade, ses sujets, qui l'aimaient pourtant, s'étonnaient de sa bêtise.
UN HOMME : T'as vu la bêtise du cambré ?
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