La censure s’étend. Non pas celle de l’Etat, il n’en a pas encore besoin, mais celle des médias et de l’édition. Ainsi plusieurs éditeurs ont refusé d’envisager la publication de cet ouvrage, considérant que critiquer la bien-pensance écologique dominante, fût-elle infondée, était inenvisageable. Un retour aux années cinquante, où l’intelligentsia trouvait qu’il était inconvenant de critiquer le communisme et l’Union soviétique!