Toucher. Toucher. Je ne sais pas comment j'ai toute cette audace. Je ne peux parler mais toucher, oui. Avec lui, oui oui oui. (...) Il me prend contre lui, il me serre. C'est tout ce que je veux. Et que ça ne s'arrête jamais. Je découvre je découvre. Je n'aurai jamais assez de temps pour découvrir. Ce que m'ouvre ce garçon c'est un territoire infini à l'intérieur de moi. (coll. Babel, 2015, p.11)